Asaliah, l'ange déchu (FINIT)

Nom: Niah
Prénom: Asaliah
Surnom: Liah
Âge: 15/16 ans pour les humains, mais en tant qu'ange ça fait plusieurs siècles.
Race: Ange Déchu
Statut: élève de seconde année
Techniques/Magie :
- Provoque des catastrophes naturelles (tsunami, tremblement de terre, tornades, sécheresse)
- Peut dissimuler ses ailes et tout objets en vêtement (ex: ses ailes d'ange sont dissimilées comme des manches de son habit et elle peut faire ça avec n'importe quel objet en le transformant en un vêtement qu'elle porterait)
- Connaître la vérité (on ne peut pas lui mentir, elle reconnaît immédiatement un mensonge)

Caractère: Même si elle est un ange déchu, Asaliah n'a perdu ni sa douceur ni sa créativité de quand elle était un ange, cependant elle n'est plus du tout naïve. Au contraire, elle a apprit à être extrêmement intuitive, à s'intégrer facilement aux nouveaux endroits et à faire toujours confiance à son sixième sens pour survivre. Asaliah est aussi très réservée et silencieuse, elle aime beaucoup le silence et observer les attitudes des gens. Grâce à cela elle a amélioré sa faculté d'analyse et est aussi assez intelligente et a beaucoup de savoir vu qu'elle a vécu énormément de temps. Tellement de temps qu'elle a perdu l'habitude de faire confiance aux autres et c'est pour cette raison qu'elle est souvent malhonnête, qu'elle dit beaucoup de mensonge ou qu'elle ignore complètement une personne.
Généralement elle déteste la violence physique et l'autorité, elle ne supporte pas du tout qu'on lui crie dessus, c'est comme une phobie pour elle. Dès qu'on lui ordonne quelque chose, qu'on lui hurle dessus, Asaliah s'enflamme très vite et utilise alors (ou perd le contrôle) ses catastrophes naturelles.

Physique: Asaliah a gardé plusieurs traits de quand elle était encore un ange, comme son côté lumineux et soyeux lorsqu'il y a le clair de lune.
Elle a de long cheveux fin aussi doux que de la soie, mais aussi blanc et brillant que la pleine lune. Sa peau est aussi très blanche comme de la porcelaine, ce qui contraste et attire énormément avec ses beaux yeux rouges comme un rubis ou le sang. Elle utilise aussi des roses rouge dans ces cheveux, du vernis rouge ainsi que de fins bracelets de la même couleur pour augmenter ce contraste.
Côté habit, Asaliah porte souvent une belle longue robe dans les tons bleus, surtout bleu foncé, comme la couleur de ses ailes d'ange déchu. Elles sont d'un bleu foncé tendant vers le noir, cependant quand elle les dissimule, ils deviennent blanc et assortis à son habit au niveau des coudes (voir l'avatar).

Histoire : La naissance d’Asaliah eu lieu il y a bien des siècles, au Paradis, mais dès cet instant tout le monde su qu’elle serait différente des autres anges et qu’elle créerait de nombreux problèmes. En effet, Asaliah eu la grande particularité de naître en pleine nuit à minuit pile et lors d’une éclipse lunaire. Elle était vraisemblablement sous la protection de la lune, ce qui est fort étonnant pour un ange, vu qu’ils sont tous sous la protection du soleil et très rare sont ceux qui naissent la nuit. D’ailleurs ils sont considérés comme de mauvais présages puisque normalement la lune représente l’instabilité, le changement, l’obscurité ainsi que le mal. Mais malgré tout cela Asaliah fut élevée comme un ange tout à fait normal et sans soucis, cependant dès qu’elle s’approcha de la préadolescence, à l’âge de 10 ans pour les humains, sa mère commençait à montrer des signes de jalousie maladive. Pourquoi était-elle jalouse de sa fille alors qu’elle avait à peine 10 ans ? Tout simplement à cause de sa beauté lorsque la nuit faisait son apparition et même si les anges ne vieillissent pas vraiment physiquement (c’est très lent par rapport aux humains) sa mère n’était plus si jeune et elle perdait la tête petit à petit... C’est ainsi que les problèmes tombèrent un par un sur Asaliah.

La jalousie maladive de sa mère grandissait de jour en jour en empêchant sa fille de sortir la nuit même si pour cela elle devait utiliser la force, car de ce côté là elle savait qu’elle ne risquait rien. Effectivement, chose étrange pour un ange, Asaliah avait l’air de ne pas posséder de pouvoirs ou alors ils ne s’étaient pas encore manifestés, ce qui était un comble, un déshonore et une honte pour son père. Ne supportant pas le fait qu’il avait peut-être mit au monde un ange « défectueux » ne possédant aucun pouvoir et étant du genre non-pacifiste et pour la guerre, son père eu beaucoup du mal à contenir cette honte qui se changeait peu à peu en colère. Résultat, Asaliah subit beaucoup de souffrances physiques en recevant des coups de rage et de désespoir de la part de son père, qui attendait comme une sorte de réaction, de déclic qui permettrait à la jeune fille de déclencher ses pouvoirs. Mais rien. Même si cela avait durée des années (en temps pour les anges, pas humains), rien n’y fit, Asaliah ne montrait toujours pas de signe qu’elle possédait des pouvoirs et cela désespéra à tel point son père qu’il finit par la renier.

Un jour, ayant de plus en plus de mal à supporter cette situation, qui empirait, Asaliah décida de s’enfuir du Paradis ; seulement elle savait très bien que c’était impossible. Le seul moyen de fuir ce lieu était d’être bannie, donc de trahir dieu et de s’opposer à sa volonté. Mais que pouvait-elle bien faire pour arriver à ce résultat ? Asaliah n’en avait strictement aucune idée lorsque le lendemain elle apprit qu’un certain ange (celui qu’elle observait toujours en cachette et devant qui elle ne s’était jamais montrée, mais dont elle était sûrement tombée amoureuse) avait été « banni » devenant ainsi un ange déchu et se retrouvant en Enfer. Cette nouvelle provoqua un énorme choc à Asaliah et même sans connaître la raison elle alla rencontrer Dieu et pour la toute première fois depuis qu’elle était née, elle s’enflamma, s’énerva d’un coup. Elle voulait savoir pourquoi, pour quelle raison. Elle trouvait cela très injuste, mais elle eu beau sortir tous les arguments du monde, elle n’eut que pour réponse « je ne peux rien y faire, rien ne peut être changé ». C’était ce qu’il ne fallait surtout pas dire. C’était la goutte d’eau qui fit déborder le vase déjà bien trop rempli. C’était ce qui fit déclencher ses pouvoirs. Le ciel devint noir comme les jours d’orages, les vents se déchaînèrent d’un coup et une énorme tornade fit son apparition dans ce lieu saint. Tout se passa très vite : le lieu fut dévasté et plusieurs anges furent blessés par surprise, mais Asaliah n’eut rien. Après cette soudaine catastrophe, elle s’évanouit à cause de la puissance de ce pouvoir complètement déséquilibré (non-contrôlé) et à la fois nouveau et inhabituel pour elle. Bien sur, Dieu savait bien que cela venait d’elle et vu le désastre qu’elle avait causé, la sentence fut sans appel et sans la présence d’Asaliah : elle fut immédiatement bannie du Paradis alors même qu’elle était encore inconsciente et fut envoyée dans le bas-monde.

Il va de soi que le réveil d’Asaliah fut douloureux et étonnant lorsqu’elle se rendit compte de ce qui s’était passé. Cependant, en y réfléchissant c’est ce qu’elle avait voulu. Elle n’avait pas désiré blesser des gens, mais elle avait réussi à fuir cet endroit devenu invivable pour elle. Néanmoins les années qu’elle passa à vivre dans ces terres rudes et inconnues, où toutes races différentes coexistaient, ne furent pas de tout repos. Asaliah appris à connaître et à apprendre ses pouvoirs et surtout à vivre en tant qu’ange déchu. Ses ailes étant désormais la preuve de sa déchéance avec leur couleur bleu foncé penchant vers le noir, elle du les dissimuler pour ne pas attirer l’attention d’ennemis ou même d’anges. A force de vagabonder de lieux en lieux, elle finit par trouver dans un endroit isolé, mais pourtant accueillant, un bâtiment semblant être un pensionnat. Elle décida alors de s’y inscrire pour une année pour voir comment ça se passer et s’y elle pouvait être à l’abri des anges dont elle ne voulait plus entendre parler. Mais à sa plus grande surprise, durant cette première année, elle vit parmi les élèves de sa classe l’ange dont elle était tombée amoureuse il y a de cela des années et qui fut déchu juste avant elle. Cette agréable coïncidence convainquit Asaliah de rester dans ce pensionnat une année de plus.

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